Je voulais absolument vous envoyer une newsletter avant 2023.
D'abord car mon offre à durée limitée ce termine ce soir, le 31 décembre 2022 à 23h59.
Ensuite car je voulais qu'on se promette une chose entre nous, une chose facile à tenir :
Que l'année à venir simple ou compliquée se passe sous le signe de la solidarité.
Car savoir et oser se vendre, c'est savoir avancer avec les autres. En soutenant les autres, on se soutient soi. En promouvant les autres, on se donne la force et le courage de se promouvoir soi.
C'est une habitude à prendre. La dernière chanson de Björk dit "Hope is a muscle" (l’espoir est un muscle). C'est la même chose pour l'entraide.
Bien entendu, ce n'est pas simple pour tout le monde. On peut parfois prendre la froideur de certain-e-s pour du nombrilisme. Que nenni. Il y a l'anxiété sociale, la peur du jugement, l'isolement parfois géographique, la difficulté que représentent pour certain-es l'utilisation des réseaux sociaux, la vie perso qui prend souvent du temps...
Selon moi, le milieu de la musique doit se défaire de l'esprit de compétition propre à notre société. Il y a ce mythe de la compétition entre artistes : qui sera le ou la premièr-e de la classe, qui gagnera le tremplin, qui aura fait le plus de streams, qui aura le plus de followers, qui gagnera la victoire de la musique...
Je ne dis pas qu'il faut absolument se défaire de cette obsession du chiffre. Pas d’injonction à la perfection. Nous sommes des êtres de lumières et d’ombres, c’est comme ça. Surtout, c'est quasiment impossible de se défaire de ces travers car il faudrait que la société change du tout au tout.
Mais en attendant le grand soir, on peut être conscient-e de ces problématiques et jouer avec, faire avec, tenter à son échelle de les contrer.
En s'entraidant, en faisant gonfler les chiffres entre nous, en jouant le jeu ensemble tout en sachant qu’on y croit pas à leur rêves de pacotilles. Enfin si, mais non, mais si, mais non, enfin pas comme iels l’entendent.
Cela peut paraître évident pour certain-es.
Mais, beaucoup de personnes se sentent si impuissantes avec leur propres projets musicaux, qu'ils ont du mal à croire qu'elles puissent aider les autres. Beaucoup ne savent pas comment aider. Ou beaucoup s'imaginent mal qu'en aidant les autres, iels s’aident elleux-mêmes.
Je ne pense pas que pour la grande majorité des gens cela vienne d'un égoïsme pur.
À tout âge et tout avancement de carrière, on peut aider. Pensez aux enfants qui aident et adorent aider les plus jeunes. C'est de l'empathie et le plaisir de la pédagogie, le contentement fort de se sentir utile, de faire grandir l’autre et la communauté.
Comme j'ai peu de temps car je suis censée préparer le réveillon / anniversaire & crémaillère de mon père, je vais tenter d'écrire cet article en mode express (au diable les fautes).
Je suis encore en pyjama, ma petite cousine de 8 ans joue à la Switch à mes côtés. Je sais que d'ici 30 minutes, on va me solliciter pour commencer à préparer avec les autres le repas du midi : 3615mavie 🤣
Allez c'est parti...
« La vie est trop courte pour être avare de compliments »
On se prend beaucoup la tête.. Normal, le trop plein d’injonctions contradictoires dans la musique nous rend chèvres, j’en ai déjà parlé :
Les artistes ont si peur de passer pour des hypocrites, de "se faire avoir", de "donner trop", de "passer pour des bisounours beaucoup trop fan et dégoulinant-es d'amour envahissant" (c'est mon cas), qu'iels se réfrènent à applaudir fort, à crier sur tous les toits "j'adore cet-te artiste".
C'est aussi une tendance générale de la société. L'humeur est à la méfiance, au clivage, à la peur.
Et on a toutes les bonnes raisons du monde de tomber dans ces mauvaises pensées : scores infâmes de l'extrême droite, droitisation de la société, guerres, appauvrissement des populations, crise climatique, recul de certaines avancées sociales, un gouvernement français ultra sécuritaire...
Alors moi je dis STOP.
La vie est trop courte. C'est vraiment au ras des pâquerettes ce que je vais écrire mais quand même : disons-nous qu'on s'apprécie, qu'on apprécie la musique des autres, l'avancement de nos carrières.
Félicitons-nous les un-es des autres.
Tentons de ressentir de la joie plutôt que de la jalousie. Inspirons-nous de la réussite des autres plutôt que d’y voir ce que nous n’avons pas. Tentons d’arrêter de critiquer à tout va, de se comparer, de chercher la petite bête.
Un simple compliment peut égayer une journée qui commence mal.
Bien entendu, je ne parle pas des artistes aux comportements problématiques, voir passables de poursuites judiciaires. Oh que non. Celleux-là, on les oublie : no pasaran.
Sur le web
C'est là que la vie publique virtuelle se joue. C'est là qu'on affiche nos accointances, nos communautés, nos goûts.
C'est là aussi qu'on apporte du soutien : en s'abonnant aux comptes des autres, en likant des posts, en les repartageant en story...
Alors n’hésitons pas !
Instagram (et Facebook)
Tentez, si vous en avez le temps et l'envie, de commenter plus qu'avec des emojis.
En effet, les algorithmes favorisent la visibilité des posts avec en commentaires des mots et des phrases. Dites franchement ce à quoi la chanson vous fait penser, ce qu’elle vous fait ressentir. Après, la pudeur peut pousser à la discrétion et en ce sens, les emojis sont tellement pratiques. Merci les émojis.
Pour booster la visibilité des posts Instagram, vous pouvez aussi les sauvegarder : pourquoi ne pas créer un dossier spécial "soutien" (c’est que j’ai fait). Zoomez sur les photos Instagram. Faites défiler les "carousels" de photos.
Pour le repartage des storys, ne vous sentez pas obligé-e de tout repartager... Mais si ça vous touche vraiment, faites-le et dites-le. Avec vos mots.
Je pense notamment aux stories de concerts. J'en ai déjà parlé dans un article :
Cela ne doit bien entendu pas devenir une injonction. J'ai assisté à la magnifique release party des Black Lilys et je n'ai pas pu faire de story après coup. C’est ok.
Si vous faites ces stories longtemps après, c'est aussi ok et encore plus touchant pour les artistes de se replonger dans ce concert passé.
YouTube
Le pouce vers le haut c'est bien, mais commentez les contenus YouTube qui vous touchent, c’es mieux ! Et abonnez-vous aux chaînes YouTube. Vous pouvez sélectionner l'option qui rend vos abonnements aux chaînes YouTube invisibles.
L’Armée de l’Ombre et de la Visibilité
Il y a deux trois ans, j'ai créé un groupe privé sur Facebook L'Armée de l'Ombre et de la Visibilité pour contrer les algorithmes des réseaux sociaux. Mais Facebook étant à l’agonie, on a un peu toustes déserté le groupe.
Je continue cette armée anti algorithmes injustes avec le Club Des Vies d'Artistes (auquel on accède avec l’abonnement payant à mon blog / newsletter).
L'idée est simple : plutôt que de payer des sponsos pour faire gonfler nos nombres de vues ou de likes, on appelle à l'aide les membres de l'Armée de l'Ombre qui y vont de leur commentaires, de leur likes ou de leur partage... Aucune obligation bien sûr !
Les crédits
Ça devrait être une évidence mais : des artistes et/ou leur entourage ne créditent parfois pas une partie voir l'ensemble de l'équipe avec qui iels ont collaboré.
Ce peut être un oubli ou un manque de connaissance. Surtout c’est ne pas se rendre compte de l’importance essentielle (desfois l’obligation légale contractualisée) de mentionner les ayant-droits, les différents créateurices ou participant-es à un projet.
Ainsi on poste une photo sans savoir qui l'a prise (même si c’est votre mère ou un inconnu). On oublie dans la partie à propos de YouTube de mentionner les personnes qui ont mixé, mastérisé la musique, créé la pochette, voir chanter sur la prod d’un-e artiste de musique électronique etc.
Les artistes ne se créditent pas aussi ! Beaucoup écrivent, composent, interprètent, réalisent leur musique mais ne se créditent pas. Les artistes, vous ne faites pas des selfies, mais des auto-portraits !
Créditez les autres et soi, c'est reconnaitre le travail qui a été fait. Rendre à Frida ce qui appartient à Frida. C'est arrêtez le fléau de l'invisibilité des artistes (surtout des personnes minorisées).
Je trouve cela tragi-comique car quand on reçoit des subventions, on est "obligé-e" de mentionner les organismes qui nous ont soutenu. Cela est marqué dans les obligations des subventionné-es. Pourquoi les organismes en viennent à obliger les artistes à le faire ? Car on oublie ? Ou alors, chose plus tordue et inconsciente, car on ne veut pas être affilié-e à la région ou au département ? Car le logo de la commune est moche ? Car on veut montrer qu'on a tout fait tout seul-e ?
Les artistes sont une mine à idées cadeaux
Participer aux crowdfundings des artistes, c'est se retrouver avec pleins de cadeaux à offrir à ses proches. Combien de CDs j'ai offert à mes parents d'artistes amix que j'ai soutenu lors de leur campagnes de financements participatifs...
Idem pour les concerts, surtout si vos amix ne sont pas dans le milieu de la musique. “Viens je t’amène à un concert d’un-e pote, tu vas adorer”. Si en plus, vous allez parler backstage au groupe, vous faites passer le meilleur moment à votre pote et le groupe gagne sûrement un-e fan inconditionnel-le.
Les playlists
Ce sont de superbes actions de soutien rassembleuses. Vous pouvez faire des playlists mais aussi relayer celles de vos artistes amix.
Thérèse a élaboré une méga playlist avec pleins d’artistes de France et de Navarre dans laquelle VoxAxoV apparait :
Idem pour les playlists des artistes Rosie Marie avec sa playlist Women ICI et de Josie avec sa playlist 🎄 my Gee’s ICI.
Pour le choix de la plateforme, vous connaissez peut-être (pas) mes positions dessus... Choisir une plateforme et pas une autre c'est empêcher des gens d'en profiter, même si Spotify propose un abonnement gratuit (le gratuit n’existe pas blablabla).
J'ai un abonnement à Apple Music (qui rémunère mieux les artistes que Spotify et Deezer soit dit en passant) (Apple Music fonctionne aussi sur Androïd). Mais jamais au grand jamais, je ne ferais de playlist sur Apple Music pour la partager.
Mais je trouve que c'est compliqué de suivre des artistes que l'on découvre grâce à une playlist d’une plateforme de streaming surtout quand on n’a pas d’abonnement à cette dernière.
Alors qu'une playlist YouTube... même si YouTube rémunère mal les artistes... tout le monde y a accès. On peut mettre les clips. On peut s'abonner aux chaînes des artistes... Les parties à propos des vidéos sont toujours pleins de renseignements intéressants : liens vers d'autres réseaux, paroles, crédits... (bon je suis créditophile, vous l’aurez compris).
La force du collectif
Se monter en collectif, créer à plusieurs des labels, des agences de booking, c'est une manière phénoménale de s'entraider, de se dégager du temps, de se promouvoir les un-es des autres, d'apprendre, se s'empouvoirer...
Beaucoup d'artistes montent leur asso en solo. Je trouve cela parfois un peu dommage. Pourquoi ne pas fusionner vos forces ?
Pour encore me prendre en exemple, je facture souvent les concerts de l'artiste Scarlett via mon association Golden Grey. Je fais cela très rapidement, l'asso se prend une com'. Et je suis, de toute façon, l'interprète, la manager à mon insu et l'ami-e de Scarlett 😅
Si vous faites appel à un-e proche pour ce genre de tâches administratives via son association : n'oubliez pas de dire à cette personne de se prendre une com'.
Si vous êtes cette personne qui vous en occupez, même (et surtout) s'il s'agit de faire une facture pour votre groupe : prenez-vous une com’ POUTRELLE.
Trop d'artistes, pour mieux payer les membres de leur groupe, ne prennent pas ces 10 ou 15 petits % pour la négociation avec la salle, les emails, le devis, la facture, les cachets via l’asso ou l’agence de portage, les virements, les remboursements de frais etc.
Les collaborations
La collaboration de VoxAxoV avec l'artiste Arbas m'a énormément porté pendant le confinement.
D'abord, notre oeuvre “les petites choses” fait du bien. Aussi car Arbas est une artiste amie solaire et généreuse et si talentueuse (ne pas être avare de compliments, dire ce que l'on ressent et pense hein...), ensuite car nous avons fusionné nos publics.
Ce fut la même choses avec toutes les collaborations que j'ai faites avec : Nahash, VAPA, Scarlett, Mö, musique à l'image, via mon label Golden Grey...
Pensez aussi les collaborations trans-disciplines. Musique et peinture, musique et poésie, musique et littérature...
Les concerts
Faites des co-plateaux !
D’ailleurs, si vous produisez avec votre association une soirée durant laquelle votre groupe se produit et que vous vous occupez de rémunérer ensuite chaque groupe avec une enveloppe globale plutôt que des cachets d’intermittence… plutôt que de payer "par groupe", payez "par nombre de personnes présentes sur scène".
C'est une pratique qui m'a toujours mise hors de moi dans les petits cafés concerts. Mais je pense c’est une situation qui n’est pas dû à de la malveillance. Les salles sont rarement contre un changement de manière de faire, vu que ça ne change rien au prix global de la soirée.
Explication avec un exemple fictif :
- Déjà, on est souvent payé-es au lance-pierre dans ces lieux : 600€ pour une soirée globale avec 3 groupes qui défilent 😰
- Puis t'as un-e artiste solo, un duo machines/voix, et un groupe qui vient à 4 (batterie, amplis et donc véhicule et place de parking compris) pour 200€ chaque groupe.
Diviser les 600€ en 7 c'est tellement plus équitable !
On fait ça maintenant ? On le propose à la salle dès le début de la négociation du concert ? MERCI !
Allez aux concerts de vos amix
C'est une évidence, mais n'oubliez pas de payer votre entrée. J'ai même envie de dire : payez un peu plus cher votre ticket et buvez une bière en moins. Je parle bien entendu de celleux qui ont les moyens.
Celleux qui sont à la dèche, proposez des services durant l'évènement contre une entrée au concert. Ce n'est pas parce que vous êtes précaires que vous n'avez pas le droit de sortir et de sociabiliser, d’évoluer dans votre milieu, tout le monde est dans la même galère.
Le bénévolat dans les salles de concert fonctionne de la sorte : la salle a besoin de bras, en échange, le ou la bénévole accède aux concerts et découvre les coulisses du métier, se fait un réseau...
Échangez vos connaissances
C'est ce que nous avons mis en place avec Musiciennes&Co : des workshops (au début complètement informels) sur des thèmes variés pour échanger nos expériences, nos connaissances, nos astuces, nos contacts. Maintenant nous faisons des ateliers en partenariat avec Les Femmes s’En Mêlent, mais le maître mot est le même : chaque participant-e peut rendre compte de son expérience.
Il en est de même sur le groupe privé Facebook de Musiciennes&Co.
Par exemple, organisez à plusieurs des après-midi booking, astuces réseaux sociaux, écriture de newsletter, initiation au modulaire...
C'est un peu l'idée que je veux développer avec le Club Des Vies d'Artistes et son groupe Discord.
Payez-vous les un-es les autres
Souvent, on demande de l'aide à nos ami-es artistes. On fonctionne en collectif, en échange de bons procédés. On est généreuxses… C’est normal, c’est beau, c’est humain.
Mais quelques fois, l'échange de bons procédés n'est pas possible ou difficilement envisageable. Et desfois, on veut juste mettre la barre plus haut, on désire se professionnaliser et professionnaliser notre équipe, même si ce sont des ami-es.
Donc si vous le pouvez, payez vos ami-es partenaires. Le travail sera fait avec plus d'entrain et/ou rendu plus rapidement. Ce sera plus clair, moins flou. Le cadre vous aidera. Pourquoi ne pas contractualiser votre partenariat pour encore plus de fluidité ?
Je parle de l’importance des contrats (même entre gens très proches) dans cet article :
Certain-es de vos ami-es refuseront d'être payé-es, insistez. Cela m'est arrivé de négocier avec une amie pour qu'elle accepte de se faire payer ! C'était le monde à l'envers
- Bon je te paye 100€
- Non ne me paye pas
- Si tu refuses j'achète 3 de tes albums digitaux sur Bandcamp et c'est dommage car je vais payer une com' à Bandcamp
- Ok mais pas 100€
- Bon, 50€ ? allez Bidule, tu exagères
- Non c'est trop ça m'a rien pris de temps
- Bon 30€ alors ?
- Ok !
- Punaise, je t’aime mais t'es reloue, la prochaine fois je te paye plus !
- On verra 🤣
Comment soutenir des projets qui n'ont rien à voir avec le mien ?
C'est mon cas avec VoxAxoV, donc je sais de quoi je parle.
Des artistes n'osent pas trop montrer publiquement leur soutien à des projets qui sont à des années lumières du leur.
Il est vrai que VoxAxoV n’a pas partagé la chanson loufoque de Miss TKT “Tu pollues la planète”.
Miss TKT c'est la fille de mon ami artiste Roger Valentine. Elle avait 8 ans quand elle a composé le refrain de la chanson et fait le dessin du personnage. Son père a fait tout le reste, clip compris. J’ai sorti cela pour le fun mais sérieusement via mon label. Roger et moi avons organisé la sortie, promu la chose sur Groover : on a bien rigolé des réponses tellement la chanson est WTF.
J'ai utilisé mon profil perso Charlotte Cegarra pour cela.
C'est compliqué à gérer car j'ai plusieurs comptes Instagram personnels, maintenant deux newsletters différentes : celle que vous lisez et celle de VoxAxoV.
Mais ça me permet de garder une ligne éditoriale qui correspond à VoxAxoV pour mes partages : des choses spirituelles, dark, magiques.
Et pour le tout venant, mes blagues, mes activités de conseils, mes crushs qui n'ont rien à voir avec l’univers de VoxAxoV, je passe par les canaux internétiques et aussi "dans la vraie vie" par Charlotte Cegarra.
Et puis faut arrêter de se prendre la tête...
Votre pote d'enfance fait du grindcore alors que vous faites de la folk éthérée au banjo, si vous partagez son dernier single, ça ne vous portera pas forcément préjudice. Une story ça dure 24h. Si votre caractère c'est d'être éclectique et soutenant, GO & SHARE.
Si vous craignez que le mélange étrange des genres perdent votre public, pensez à l'option d'un deuxième compte.
Rien à voir : faites attention aux morsures de chat
Ma mère s'est faite mordre (au sang) par un chat le 25 décembre. Joyeux Noël Maman 😢 Sa plaie était minuscule : un petit point rouge. Mais le lendemain, sa main avait bien enflé.
C'est grave. Une amie a moi a failli perdre sa main à cause de cela (elle est guitariste, c’est ballot).
Si cela vous arrive ou cela arrive à un-e proche, même si le chat est vacciné et ne traîne pas trop dehors, même si la plaie est toute petite : direction les urgences, le plus rapidement possible.
Il en va de même pour les morsures de chiens et... d'humain-es.
Sur ce, je vous envoie pleins de bonnes ondes et pas spécialement car on va passer à une nouvelle année.
Vous avez survécu à 2022, c'est déjà ça. Vous pouvez vous féliciter pour cela. Les résolutions, les souhaits tout ça tout ça, on verra en temps et en heure...
Et une dernière fois avant 2023, c'est ce soir à 23h59 que l'offre de lancement pour l'abonnement à mon blog se termine.
Gardons le cap !